Shopping Cart
Your Cart is Empty
Quantity:
Subtotal
Taxes
Shipping
Total
There was an error with PayPalClick here to try again
CelebrateThank you for your business!You should be receiving an order confirmation from Paypal shortly.Exit Shopping Cart

Jessy KEUTIENS   Psychologue - Sexologue - Hypnothérapeute

C'est au thérapeute à s'adapter à son patient,

pas au patient à s'adapter à un style thérapeutique (principe de psychologie intégrative)

Depuis mon enfance, j’aime comprendre le fondement des choses, la motivation des actes, la genèse de la personnalité, …

La lecture d’un livre (profession profileuse) est une véritable révélation pour moi . Une évidence s’impose alors, le désir de pousser la compréhension à un niveau encore supérieur, un niveau où pour la plupart des gens, cela devient impossible car l’émotionnel l’emporte sur la raison.

A cet évidence s’ajoute alors un but : travailler dans le milieu de la délinquance, plus particulièrement de la délinquance sexuelle.

Cependant, depuis longtemps, j’ai aussi envie de me lancer dans des études de médecine. Je tente alors l’aventure mais après un an, un changement dans ma vie privée me fait me réorienter vers, je pense, les études pour lesquelles j’ai toujours été faite, la psychologie.

Je m’oriente donc vers la délinquance, la sexologie et les techniques projectives.

Au fil de mon parcours universitaire, ma passion pour le métier ne fait que grandir. Je lis une quantité incroyable de livres de psychologie sur divers sujets. Ca restera d’ailleurs mes seules lectures à quelques exceptions près.

Mes stages me permettent de découvrir un aspect de la profession qui me passionnera également, la thérapie.

Après mes études, je suis très rapidement confronté à la difficulté de trouver un emploi dans ce secteur. Après de multiples déceptions, je décide alors de débuter une consultation privée.

Peu de temps après, je trouve mon premier emploi de psychologue au CPAS qui me permet de découvrir la thérapie avec les enfants et les adolescents.

Je débute à la même période, ma formation continue, indispensable dans ce métier.

En 2011, je passe un examen au selor pour travailler en maison de justice en tant qu’expert technique judiciaire. J’y travaillerai jusque fin 2014.

Cette année là, je fais une rencontre tout à fait fortuite qui me permettra enfin d’accéder à un emploi de psychologue après 7 ans de recherche … Comme quoi, il ne faut jamais perdre espoir.

Au jour d’aujourd’hui, ma passion pour ce métier est toujours intacte. Je continue à me former dans divers domaines, c’est presque devenu une drogue ce besoin de se former et d’en savoir toujours plus … Plus j’apprends et plus j’ai envie d’apprendre. Plus j’apprends et plus je me sens riche professionnellement et personnellement.

Ces formations m’ont permis de développer une approche particulière de la thérapie qui est d’ailleurs de plus en plus plébiscitée. Beaucoup de psychologues ont une orientation thérapeutique spécifique (les patients s’y retrouvent d’ailleurs souvent assez mal entre les qualificatifs) à laquelle les patients sont donc confrontés. J’ai voulu voir les choses différemment. Il est évident que chaque patient est unique donc pourquoi devrait-il se plier à une orientation spécifique qui ne lui convient peut-être pas? Ou alors il a toujours le choix de changer de psychologue mais parfois le lien de confiance est installé et c’est juste la méthode qui pourrait être plus adaptée à la problématique et/ou au patient

D’où mon intérêt pour la psychologie intégrative. Mes diverses formations me permettent aujourd’hui de « piocher » dans ma boîte à outils afin de m’adapter au mieux à la personne et à sa problématique.

Pour conclure, je dirai que je me suis souvent demandé si on DEVENAIT psychologue. A l’heure d’aujourd’hui, j’ai la conviction qu’on EST (NAIT) psychologue. Certaines personnes sont bien plus psychologues que certains professionnels du métier.

La psychologie pour moi est bien plus qu’un métier, c’est une façon de vivre et une vision du monde. Elle m’aide au quotidien dans ma profession mais aussi dans ma vie personnelle.

Quoi qu’il en soit, j’essaye toujours de ne pas juger et de garder intacte au fond de moi ce désir de compréhension nécessaire à l’empathie et au non jugement qui permet d’appréhender l’individu avec son histoire et dans sa globalité et d’éviter à tout prix de la réduire à ces actes ou à une étiquette psychopathologique.